Poèmes persoHumour glanéPlan du siteNous contacterNos voyages en partage
ASSURANCES
AVIATION
BECASSINE
DOUANIERS
EDUCATION NAT.
ELEVES
GENDARMERIE
IMPOTS
JC VAN DAMME
LETTRE A L'ADMIN.
LOCATAIRES
MEDECINE
MILITAIRES
PARENTS D'ELEVES
PERLES DES BAC.
PERLES HOTLINES
PRESSE MONDIALE
PROF. DE LYCEE
PROF. DE FAC.
RECRUTEURS
RENAULT ASSIST.
SAVON
SECU/SANTE

GENDARMERIE NATIONALE

Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien à constater.

Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.

L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.

C'est la pluie qui empêcha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.

Quand le contrevenant a crié : " Espèce de gros con ! " dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.

L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.

L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arrêté ...

Le suspect s'est alors décidé à passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.

L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.

L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.

Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux Doigts...

L'animal n'a fait qu'une bouchée de la carrosserie du véhicule.

L'homme a insisté pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres...

Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus et signa le formulaire d'une croix.

Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait sûrement jamais eu lieu ...

Pour finir, l'interpellé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.

Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la même heure.

Arrêté par les gendarmes, le voleur les a menacés d'appeler la police.

Il est a noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.

En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.

Malgré un taux d'alcoolémie de 3.8, le conducteur avait gardé toute sa lucidité pour écraser l'animal.

Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant...

C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.

Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.

Le pendu est mort noyé.

Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.

Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics", ignorant que nous étions des gendarmes.

La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes...

Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés.

La pauvre femme fut hospitalisée après avoir reçu les injures nécessaires.

Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble.

La Gendarmerie n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons dû renvoyer le malade chez lui.

Son crâne défoncé parlait pour elle...

Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir.

N'ayant pas pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.

Le manouche habitait une caravane tirée par sa femme...

Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.

Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras.

Soudain, la voiture recula pour mieux avancer...

L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle ait lieu.

Le marteau utilisé était en bois sauf qu'il était en fer.

Nous avons été obligé de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.

Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques...

Le mur avançait à grand pas vers le véhicule...

La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour.

Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir...

Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer...

La chasse étant fermée à cette époque, il l'ouvrit lui-même tout seul.

L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité.

L'individu a réussi à sortir de ses menottes par la porte de derrière.

Avec un taux d'alcool de 3,2g, le sang de l'homme était comme une bouteille.

Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention.

Le conflit entre la police et la gendarmerie étant ce qu'il est, l'enquête ne put aboutir.

Le motif du vol était le meurtre...

la carosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir.

Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence.

Le vélo déambulait seul avec une alcoolémie non autorisée.

Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotine.

Le grave préjudice subi par le conducteur avait été estimé à : 0 Franc.

C'est en urinant que l'homme se blessa aux yeux.

Le fusil à pompe était muni de quatre pneus lisses...

La gendarmerie étant fermée le dimanche, le meutre dut attendre le lundi pour venir tout avouer.

Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui.

N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression.

Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer.

Le susnommé refusa catégoriquement de nous dire son nom.

Agé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent...

Il rédigea lui-même par écrit son témoignage oral.

Force est de constater que le concubin de la femme était bien son mari...

Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l'attention des autres automobilistes.

Il habitait en chair et en os à son domicile.

Sans se démonter, l'homme démonta l'arme devant nous.

Il s'était servi du cric de sa voiture pour lui donner gentiment plusieurs coups à la tête.

Elle prétendait être encore vierge mais son casier judiciaire disait le contraire puisqu'elle prostituait.

La S.d.f. fut incapable de nous donner une adresse valable.

La neige s'était mise à tomber pour essayer de cacher l'objet du délit.

Bien que nous étions 5 à ceinturer l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir sans difficulté.

Sans aucune preuve matérielle valable, nous avons eu le regret de devoir le relâcher vers de nouveaux délits.

Le complice des deux voleurs était sans doute le troisième...

Il avait le tort de n'être pas de nationalité française...

S'il avait encore eu sa tête, il n'aurait eu aucun mal à décliner son identité.

Il quitta la gendarmerie avec l'air innocent de quelqu'un qui n'a pas la conscience tranquille.

Les chaussures de l'accidenté étaient aussi bien habillées que lui.

Personne ne connaît l'identité de la victime qui vivait depuis près de dix ans dans le village et se nomme Jean Pierre Pelprat.

Le logement de fonction du gendarme était trop exigu pour être habité...

Malgré ses 4 frères et soeurs, le jeune homme était fils unique.

N'écoutant que son courage, la brigade fut obligée de battre en retraite.

L'homme s'était donc noyé par pendaison...

La pièce d'identité présentée par l'homme prouvait sans aucun doute qu'il était coupable.

Le corps fut retrouvé dans le congélateur encore chaud.

Toutes les entrées de la femme étant vérouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le toît.

Contrairement à ce qu'il prétend, nous n'avons jamais abusé de violences sur l'homme, puisque quelques claques n'ont jamais été des violences chez un délinquant...

Trop sourd pour nous entendre, l'homme avait fini par devenir aveugle.

L'accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.

C'est en voulant sortir ses papiers que l'homme se rendit compte qu'il était bien mort.

Ouvrant le coffre du véhicule, nous y avons trouvé uniquement du vide...

L'homme s'était terré comme un vulgaire lapin...

Le militaire appréhendé était en fait curé d'une paroisse de la région.

Ne s'étant pas arrêtée au stop, la voiture accéléra brusquement au moment du freinage.

Les trois balles étaient groupées dans l'oeil gauche qui semblait ne plus rien voir...

Dès l'ouverture du magasin, les portes avaient été solidement vérouillées.

Le récidiviste n'avait jamais rien eu à se reprocher...

S'il n'avait pas obtempéré immédiatement, l'homme n'aurait sans doute pas obtempéré.

Nous avons enregistré sa plainte en sachant déjà que nous ne ferions absolument rien.

Le camion que nous avons inspecté transportait 30 porcs munis de leurs femmes.

Le cambrioleur portait sur son visage sournois les traces de sa culpabilité.

De deux choses l'une, c'était soit notre version, soit la sienne, mais c'était la nôtre bien sûr.

Le coupable proclamait son innocence que comme tous les menteurs du monde.

L'homme n'avait rien voulu nous avouer, si ce n'est deux ou trois petits crimes sans importance.

Le mari semblait plus honnête de 50% que sa femme...

Raide mort, nous l'avons quand même eu vivant...

Dans ce conflit, le rôle des forces de l'ordure a été déterminant...

C'est alors que le suspect a eu l'audace de s'endormir pendant que nous l'interrogions

Interrogé par nos soins, l'homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l'interroger...

L'homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l'inspecteur à la bouche

Le garçon de café était une femme...

L'homme nous raconta toute la vérité qui n'était qu'un tissu de mensonges

L'homme a refusé de reconnaître qu'il nous avait menti en affirmant qu'il était mort

Le prévenu a attendu d'avoir fini son repas pour commencer une grève de la faim

L'homme attendait l'autobus d'un oeil suspect...

Les trois africains soupçonnés d'avoir trempé dans l'affaire ont tous été blanchis par l'enquête qui a suivi

Face à face avec son adversaire, l'homme le prit en traître par derrière...

Le suspect nous a alors mencés en fronçant les sourcils...

Le cadavre de l'homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents

témoins

L'homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s'y introduire

Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant...

Non seulement la mère n'est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu'elle est en vie

La femme resta ouverte jusqu'à l'arrivée de son mari...

Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect ne pouvait être présent à l'heure dite sur les lieux du vol qu'il avait commis

L'homme s'est pendu après s'être tranché la gorge

Dès que l'homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire

Il est probable que la suicidée a été lâchement assassinée

La femme a vraisemblablement été étranglée par son assassin...

L'assassinat avait donc bien le crime pour seule et unique raison

On ignore les raisons qui ont poussé le désespéré à se faire assassiner...

Après avoir déjà enfilé deux sens interdits, l'homme s'en est pris à la conductrice...

Le défunt a formellement reconnu son agresseur

Cinq des trois suspects ont été relâchés...

La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu'à présent de mettre un

nom sur son visage

Aucun dégât n'est à déplorer à l'exception de la seule et unique victime

Selon ses dires, l'homme est mort vers 16h30

L'homme a déposé sa plainte sur le bureau avant de s'envoler devant nos yeux qui n'ont rien compris

Le choc fut sans gravité même s'il fallut déplorer deux morts...

Seuls quelques dégâts matériels furent notés sur le cadavre...

Le policier pu frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire

L'homme ne semblait pas avoir prévu son meurtre avec préméditation...

Un violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle...

Après identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n'a pu retrouver la trace

Le défunt confirma que son meurtrier avait bien agi seul

Malgré son mariage et ses quatre enfants, l'homme vivait comme un veuf éploré...

Grièvement blessée, la vitrine s'effondra en morceaux...

La mer était sa terre natale...

Le trio des voleurs était composé de quatre hommes d'origine africaine...

Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui

L'homme qui avait dérobé les miches s'en prit ensuite à celles de la boulangère...

Haut de page
Haut de page
Haut de page
Haut de page
Haut de page
Haut de page
Haut de page